Au gnouf
C'est au tour de la pauvre Coco d'être en "isolement". En effet, sa constitution de boudin joue contre elle : elle a fait un début de fourbure à un moment donné et ses sabots restent fragiles. Comme elle fait aussi de la fourbure de stress des fois, ça n'aide pas. L'herbe devenant vraiment grasse et les shires bougeant vers les paturages intouchés, Coco se retrouve dans son paddock électrifié avec du foin... mais pour que tout le monde reste heureux, je laisse un passage depuis les prés du haut jusqu'à celui du bas, avec point d'eau uniquement en bas, pour que les grosses soient obligées de venir voir Coco. Pas très utile au final, elles ne veulent pas se séparer longtemps de leur ponette adorée, et elles aiment trop leur hangar. Tout le monde y trouve son compte, sauf la petite parcelle de pré sacrifiée... mais bon, au profit de celle du haut qui sera moins piétinée
Pendant ce temps, dans les bois...